Gédéon alias Nicolas Dewynter est né le 7 octobre 1976 de deux parents profs d’art plastique. Dès l’enfance, il s’intéresse aux arts du cirque.
A 7 ans , il décide d’aller seul voir le cirque installé sur la place du village. (Mal)heureusement il est le seul spectateur présent, les artistes décident de le mettre sur le dos du chameau et de parader dans le village pour attirer les passants. Cet événement sera pour lui une révélation : il deviendra clown, quoi qu’il arrive ! Toute son enfance, il participera à des colonies, stages de cirque avec le Cirque Plume.
À 14 ans, il part pour Bruxelles, accompagné de sa mère, pour un stage intensif, un mois avec Vincent Rouche et Normand Fauteux, il découvre le travail du masque neutre et du clown.
C’est une révélation pour sa mère !
De retour en France, elle décide de démissionner de son poste de prof et de se lancer dans le théâtre, quelques mois plus tard Les Totors Robert créent leur premier spectacle.
Pendant plusieurs années, Nicolas travaille sur toutes les créations de la compagnie, il joue, monte les bandes-son, crée la lumière.
C’est une révélation pour sa mère !
De retour en France, elle décide de démissionner de son poste de prof et de se lancer dans le théâtre, quelques mois plus tard Les Totors Robert créent leur premier spectacle.
Pendant plusieurs années, Nicolas travaille sur toutes les créations de la compagnie, il joue, monte les bandes-son, crée la lumière.
À 18 ans, il effectue son service militaire comme objecteur de conscience au Théâtre Grain de Sel de Chalon-sur-Saône. Il découvre les joies de la régie générale –alors qu’il n’a aucune formation- et participe à une des créations du Théâtre de Saône et Loire « le médecin malgré lui », mis en scène par Jacques Bailliart, où il joue et assiste le régisseur.
Après ces 20 mois de formations (d’exploitation), il retourne travailler avec les Totors. Ils sont désormais dirigés par Fred Bourgeon (metteur en scène), grâce à qui, ils vont partir jouer à Montréal pour le festival « Juste pour rire ». Mais l’aventure est un échec, la compagnie décide de se séparer de son metteur en scène, et se lance dans de nouvelles créations qui connaîtront le succès.
Après ces 20 mois de formations (d’exploitation), il retourne travailler avec les Totors. Ils sont désormais dirigés par Fred Bourgeon (metteur en scène), grâce à qui, ils vont partir jouer à Montréal pour le festival « Juste pour rire ». Mais l’aventure est un échec, la compagnie décide de se séparer de son metteur en scène, et se lance dans de nouvelles créations qui connaîtront le succès.
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| "La petite tuerie" |
En 2005 il donne une identité à son clown, Gédéon, il crée « La petite tuerie », son premier solo (clown-trash-sanguinolent), il se blesse gravement au bras pendant une répétition.
Ce spectacle (bien que très difficile à vendre) se jouera une centaine de fois dans les festivals de théâtre de rue et ailleurs...
En 2006, il invente un nouveau personnage antipathique, et misanthrope, « Stanislas Verdeyrberke », puis en 2008 commence à écrire les premières ébauches de « Peau de lapin ».
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| Stanislas Verdeyrberke |
En 2009, il intègre la compagnie SF (Sébastien Foutoyet), http://sf.compagnie.over-blog.com/ il reprend le rôle de François Chatot sur le spectacle « Le petit cirque des tribuns », et interprète le premier rôle de la nouvelle création « Barbe bleue, espoir des femmes » de Déha Loher. Il jouera ensuite dans les dernières créations de la compagnie "FOIN!" et "Un miracle dans la fosse".
Il réintègre la compagnie « les totors », qui le produisent et le soutiennent, et met en scène leur nouvelle création « Adieu vieille carne », et interprète le rôle de Camboui dans la dernière création "A vot' bon cœur".
Il réintègre la compagnie « les totors », qui le produisent et le soutiennent, et met en scène leur nouvelle création « Adieu vieille carne », et interprète le rôle de Camboui dans la dernière création "A vot' bon cœur".
Nicolas travaille actuellement sur une nouvelle création de «Gédéon », et sur la mise en scène et l’écriture du spectacle « 1989 » de « Gran Kino » (ex Semtazone).
Durant toutes ces années, il pratique la batterie, en 2004 il intègre le groupe « noise/rock » Dupek. Ils feront une centaine concerts à travers l’Europe.
Durant toutes ces années, il pratique la batterie, en 2004 il intègre le groupe « noise/rock » Dupek. Ils feront une centaine concerts à travers l’Europe.
